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Notre projet sur la réforme des rythmes scolaires

lundi 25 novembre 2013

Si les électeurs en décident ainsi, nous devrons préparer et appliquer la mise en œuvre de cette réforme à partir d’avril 2014. Bien sûr, d’ici là, le rectorat aura défini l’organisation (et donc l’enveloppe horaire) et c’est celle que nous devrons mettre en œuvre à la rentrée 2014.

Si le rectorat l’accepte, nous proposerons quelques aménagements horaires pour prendre en compte, par exemple, les enfants des petites et moyennes sections afin de leur permettre de finir leurs siestes sans qu’il soit nécessaire de les réveiller pour aller à 15 :30 mener les activités périscolaires.

Dans le même ordre d’idée, je m’attacherai, dans les années suivantes à défaut de pouvoir modifier ces horaires dès la première année, à re-travailler sur cette organisation avec la communauté des parents, des animateurs, des associations et bien sûr des enseignants. Cette organisation et donc les emplois du temps peuvent et doivent se décliner en fonction de l’âge des enfants mais aussi de la disponibilité des encadrants et de nos équipements : 1 heure limite les possibilités pour des CM2 alors que cela semble une éternité pour des petits de 3 ans. Nous devons prendre en compte cette différence d’age.

Développer la formation des animateurs et des responsables de ces nouvelles activités ; sécuriser le transfert école-périscolaire ; mettre en place une signalétique efficace pour aider les plus jeunes à se repérer rapidement les lieux et les aménagements pour des temps et des activités différenciées ; rassurer les parents comme les enfants en mettant en place, par exemple, des adultes référents ; identifier les activités fédératrices pour mettre en œuvre notre projet éducatif commun... le chantier est immense mais passionnant !

Je veux m’appuyer sur les leviers offerts par cette réforme pour co-élaborer avec les Robinsonnais un Plan d’Éducation Territorial (PEDT) au niveau de l’enjeu que représente cette jeunesse dans notre ville et de l’implication de leurs parents.

Fort de ce PEDT, je chercherai auprès du rectorat et de la CAF, le soutien nécessaire à la définition et à la bonne mise en œuvre des activités proposées à nos enfants.

Si les électeurs en décident ainsi, Nous ferons les choix budgétaires nécessaires à la mise en œuvre de cette réforme sans augmentation d’impôts. J’apporterai au Plessis-Robinson la volonté politique pour la réussir.

Je sais que l’intérêt des enfants et la bonne volonté des acteurs autour de ce sujet feront le reste.

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